Top albums 2020
40. IDLES — Ultra Mono
« Sur cette production, le chanteur de la formation – le charismatique Joe Talbot – aborde une panoplie de sujets difficiles : masculinité toxique, immigration, Brexit, etc. Un « fuck you » électrisant adressé au conservatisme identitaire et économique qui sévit sur notre planète depuis l’époque Reagan-Thatcher. »
— Stéphane Deslauriers
39. clipping. — Visions of Bodies Being Burned
« Cette année, clipping. a lancé Visions of Bodies Being Burned, qui se veut la suite de l’album précédent, et c’est l’album où les forces de clipping. sont enfin en symbiose. »
— Mathieu Robitaille
38. Pottery — Welcome to Bobby’s Motel
« Ces temps-ci, c’est le quintette Pottery qui suscite le buzz le plus puissant avec son premier album Welcome to Bobby’s Motel, un gros disque de party qui se plaît à évoquer les beaux jours du post-punk et du new wave à la Talking Heads ou Devo. »
— Bruno Coulombe
37. Special Interest — The Passion of
« Bref, cet album est une version superbement modernisée de la musique punk et ses dérivés. The Passion Of est un disque rafraîchissant et inquiétant à la fois. Si vous aimez H09909, Death Grips et Girl Band, en mode fin du monde, vous serez comblés… ou effrayés ! »
— Stéphane Deslauriers
36. Sault — Untitled (Black Is / Rise)
« Bref, c’est 2 en 2 pour Sault en 2020. Rise est la meilleure des deux productions, ayant une identité musicale plus ramassée et une énergie plus contagieuse, mais ce sont deux albums à ajouter à votre liste d’écoute pendant les Fêtes. Le message social et politique de Sault ne tombe pas pour autant dans l’oubli. »
— LP Labrèche
35. Cindy Lee — What’s Tonight to Eternity
« Aussi expérimental soit-il, une des plus belles qualités de What’s Tonight to Eternity réside dans le fait qu’il parvient à maintenir le fragile équilibre entre le disque un peu bizarroïde et son approche néanmoins chansonnière. »
— Bruno Coulombe
34. Laura Marling — Song for Our Daughter
« Laura Marling nous offre une ode à la résilience, un baume sur toutes les inquiétudes qui nous submergent. Émouvant, sincère et noble, Song for Our Daughter est un grand disque folk. Point. »
— Stéphane Deslauriers
33. Emma Ruth Rundle & Thou — May Our Chambers Be Full
« À peine sorti de cette oeuvre, on se trouve à espérer une récidive dans un futur qui, on l’espère, ne sera pas si lointain. Cette association a tout pour plaire aux fans des deux artistes et pourrait même aller en chercher de nouveaux. Une des sorties heavy les plus intéressantes de l’année. »
— Mathieu April
32. Lido Pimienta — Miss Colombia
« …il s’agit d’une œuvre majeure qui nous confronte à nos propres privilèges en nous éveillant à la réalité des populations marginalisées : femmes, immigrantes, autochtones, queer… Toutes des identités dont Lido Pimienta se réclame. C’est aussi ça, le pouvoir de la musique. »
— Bruno Coulombe
31. YlangYlang — Interplay
« À la première écoute, Interplay désoriente un peu par le nombre d’idées qui convergent dans chaque pièce, donnant l’impression sur le coup de déambuler à travers une série de rêves. Heureusement, l’album est superbement bien ficelé, et chaque pièce révèle sa partie du fil conducteur qui fait en sorte que le tout paraît davantage homogène. »
— Philippe Desjardins