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Meilleurs albums de la décennie 2010-19 selon LCA

50. FKA Twigs — LP1 (2014)

« Malgré ces expérimentations et ces explorations, FKA twigs ne perd jamais de vue la mélodie efficace et c’est de cette manière qu’elle réussit à ratisser large et attraper un ample éventail d’oreilles. »

LP Labrèche

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49. Destroyer — Kaputt (2011)

Je ne sais pas si c’est les cuivres chauds ou encore la dégaine vocale unique de Dan Bejar, alias Destroyer, qui fait que Kaputt a autant marqué les esprits. Peut-être est-ce sa manière d’écrire qui se veut en flux de conscience où il se permet de sortir des cadres convenus dans ses textes. Dans tous les cas, c’est un album qui s’est retrouvé sur plusieurs listes de nos collaborateurs.

48. Anderson . Paak — Malibu (2016)

« Beat heureux, textes mélancoliques; la combinaison aurait pu être grotesque. Elle se révèle plutôt heureuse, voire géniale. À l’écoute de ce Malibu, un constat simple: le protégé de Dr. Dre a maintenant tous les outils en main pour devenir à son tour un incontournable de la scène hip-hop. »

Philippe Beauchemin

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47. Tyler, The Creator — Scum Fuck Flower Boy (2017)

« Cependant, Scum Fuck Flower Boy fait ce que Tyler évitait depuis quelques années : plonger dans ses propres problèmes. Oui, son côté moqueur est toujours un peu présent, mais on sent que le jeune homme avait quelque chose à dire et qu’il voulait être entendu cette fois-ci. »

LP Labrèche

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46. Louis-Jean Cormier — Le treizième étage (2012)

« Malgré les fraudes, scandales, les salles d’urgence pleines, les banquises fondantes, les ouragans et les églises à vendre, il formule la seule vraie question: «Crois-tu qu’on s’aime encore, fort ?» Mais à qui s’adresse-t-il ? À une femme ? À ses contemporains? À nous tous, sans doute, personnellement et collectivement. »

Philippe Beauchemin

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45. Courtney Barnett — Sometimes I Sit and Think, Sometimes I Just Sit (2015)

« Un titre de circonstance qui reflète précisément l’ambiance «entre-deux» qui émane de ce disque où l’ironie est distillée sur de nombreux fonds musicaux déployés (grunge, rock garage, blues-rock, pop hargneuse, post-folk). »

Philippe Beauchemin

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44. Kurt Vile — Waking on a Pretty Daze (2013)

« Il nous sert ici un grand disque de rock hypnotique, narcotique, ambitieux, authentique, qui ne tombe jamais dans la grandiloquence et qui est à l’épreuve du temps. Un album qui inspire la fuite et le road trip hallucinant. De toute beauté! Indémodable! »

Stéphane Deslauriers

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43. Parquet Courts — Wide Awake! (2018)

« Wide Awake ! est un album rock comme il s’en fait trop peu. Fédérateur, protestataire, amusant, juste assez irréfléchi, ce disque pourrait bien être l’album rock de l’année. Parquet Courts et Danger Mouse ont réussi leur pari. »

Stéphane Deslauriers

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42. King Gizzard & the Lizard Wizard — Nonagon Infinity (2016)

« …l’un des grands crus de l’année, catégorie garage rock psychédélique. Fanatiques de Segall et Thee Oh Sees, vous allez vous rouler en petite boule tout près de votre chaîne stéréo en écoutant Nonagon Infinity. Du gros bonheur rock. »

Stéphane Deslauriers

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41. Ty Segall — Manipulator (2014)

« Manipulator fait partie des meilleures offrandes à ce jour offertes par le jeune homme. Une excellente façon d’approcher l’univers musical du Californien pour une première fois. Un album à se mettre dans les oreilles impérativement. »

LP Labrèche

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