Chroniques

Top 50 albums 2019 (25 à 1)

5. Tyler, The Creator — IGOR

« Vous le devinerez, c’est ce qui se poursuit sur IGOR. Le côté juvénile et vulgaire du personnage de Tyler The Creator continue aussi de s’estomper pour laisser place à un être sensible et émotif. Si l’homme contemporain doit être capable de parler de ses sentiments à des moments autres que la frustration, le MC américain en est un bon exemple. Est-ce que Tyler serait devenu un modèle pour les jeunes hommes ? Ben oui… » — LP Labrèche

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4. Weyes Blood — Titanic Rising

« Cette nouvelle production, co-réalisé avec Joanthan Rado (Foxygen) – et ça s’entend ! – porte sur notre monde en lente décomposition et qui refuse d’affronter son inéluctable destin. En replongeant dans son adolescence trouble et rebelle, Merling arrive à cette conclusion : le monde dans lequel on vit est incorrigible et est voué à une extinction assurée.  » — S. Deslauriers

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3. Corridor — Junior

« Il s’en trouvera peut-être pour dire qu’il s’agit de l’album le plus pop de Corridor, mais je ne le vois pas ainsi. Outre la production plus léchée, il n’y a rien ici qui laisse croire à un quelconque compromis artistique. En fait, il règne sur Junior un sentiment d’urgence, résultat peut-être du délai très court avec lequel l’album a été enregistré (un mois et demi à peine), et qui participe à la force de la proposition. » — B. Coulombe

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2. Nick Cave & the Bad Seeds — Ghosteen

« Il ne faudra pas pleurer si le personnage flamboyant qu’incarnait Nick Cave ne ressuscite jamais. Ce type-là a été remplacé par un homme brisé par le deuil qui se reconstruit dans la beauté absolue. C’est comme si le mur de verre qui le séparait de son public avait éclaté pour le faire revenir parmi les mortels à nouveau, dans toute sa fragilité et dans toute son humanité. » — C. Laplante

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1. Lana Del Rey — Norman Fucking Rockwell

« Ouep, je n’ai que de bons mots pour ce nouvel album qui te dévoile enfin comme l’auteure-compositrice de génie que tu es, sans flafla. Les apparitions trop nombreuses de ton dernier album ne servaient absolument à rien. C’est juste toi qu’on veut et ça, même ton producer l’a compris. Avec Norman Fucking Rockwell, tu t’appropries solidement la place qui te revient dans le panthéon des plus grands artistes pop de notre époque et l’album sera longtemps en rotation chez moi. » — C. Laplante

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