Chroniques

Top albums 2021

Il est temps de se commettre! Les collaborateurs du Canal Auditif ont parlé et vous présentent les 50 meilleurs albums de l’année selon nous. Bonnes (re)découvertes!

50. SALOMÉ LECLERC — Mille ouvrages mon cœur

Folk, rock, franco

Trois ans après nous avoir offert le très beau Les choses extérieuresSalomé Leclerc remet ça avec un quatrième album qui emprunte le chemin tracé par le précédent, mais avec plus de contrastes dans les arrangements. Non seulement Mille ouvrages mon cœur confirme le talent de l’auteure-compositrice-interprète, mais il s’inscrit comme l’une des plus belles parutions de chanson francophone cette année.
Bruno Coulombe

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49. Alex Burger — Sweet Montérégie

Country, rock, franco

sweet montérégie

Sa plume est intelligente et il mise sur sa capacité de décrire des situations avec une agréable précision. De plus, faire du country rock est un exercice périlleux. Alex Burger s’en sort en tassant la poussière sur l’épaule de son coat à frange.
LP Labrèche

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48. Dean Blunt — Black Metal 2

Rap

Dean Blunt a mis 7 ans avant de lancer la suite de Black Metal. Visiblement, l’attente en valait la chandelle. Le rappeur présente un album qui est à la fois de grande qualité et légèrement plus accessible que ses créations passées.
LP Labrèche

47. Laura Niquay — Waska Matisiwin

Folk, rock, autochtone

Waska Matisiwin

Laura Niquay fleurit en même temps que les pommiers ce printemps avec Waska Matisiwin, son deuxième album. Le chemin parcouru depuis Waratanak en 2018 est impressionnant. Niquay arrive avec une confiance renouvelée. On la sent en pleine possession de ses moyens. De plus, son projet artistique dans son ensemble se bonifie en créant un pont entre l’indie-folk-rock et la culture atikamekw.
LP Labrèche

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46. Cadence Weapon — Parrallel World

Rap

Cadence Weapon a connu toute une année. Son Parallel World propose une parole engagée et puissante qui se couche sur des trames d’artistes talentueux comme Jacques Greene ou Korea Town Acid. Ce n’est pas pour rien qu’il a remporté le prix Polaris 2021.
LP Labrèche

45. The Bug — Fire

Électro

The Bug a présenté cette année un album d’une lourdeur impressionnante pour de la musique électronique. Il pose un regard sombre sur la Grande-Bretagne contemporaine et nourrit des fantasmes de changements radicaux dans la société. C’est un retour à quelque chose de plus brutal pour l’artiste anglais qui avait fait de nombreuses collaborations ces dernières années.
LP Labrèche

44. IDLES — Crawler

Rock, post-punk

Moins frénétique et rassembleur que les précédentes créations du groupe, Crawler est un disque de transition convaincant. Laissant présager le meilleur pour la suite des choses, IDLES réussit tout de même à garder intact son ADN post-punk axé sur cette puissante section rythmique et ces salves de guitares délirantes. 
Stéphane Deslauriers

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43. Viagra Boys — Welfare Jazz

Punk, rock

Réalisé principalement par Matt Sweeney (Bonnie « Prince » BillyRun the Jewels) avec l’aide de Justin et Jeremiah Raisen (Yves TumorKim GordonSky Ferreira) , on retrouve sur Welfare Jazz le son si grisant du quintette. Certes, Viagra Boys est un groupe de post-punk, mais si le groupe n’incorporait pas à sa recette des ingrédients issus de la musique électronique, saupoudrés d’un peu de psychédélisme, l’engouement suscité par sa musique serait probablement moindre.
Stéphane Deslauriers

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42. Myriam Gendron — Ma délire, Songs of Love, Lost & Found

Folk

Dévoilant de nouveaux atours à chaque écoute, Ma délire – Songs of Love, Lost & Found est un album de contrastes, qui puise sa puissance dans son étonnante sobriété. C’est également un disque qui ouvre de nouvelles possibilités sur la manière de se réapproprier notre folklore et d’en découvrir d’autres significations.
Bruno Coulombe

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41. Sleaford Mods — Spare Ribs

Post-punk

spare ribs

Dynamisante, cette nouvelle production conserve toujours ce ton aussi grinçant et baveux, mais la musique, elle, vous donnera envie de monter le volume, d’ouvrir les fenêtres de votre appartement en dansant frénétiquement votre vie.
Stéphane Deslauriers

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