TOP 2025 | : Les albums de l’année
30. Tropical Fuck Storm — Fairyland Codex
Rock
« Ce n’est pas l’album le plus lourd de la formation, mais, en même temps, par moment, ce l’est. On retrouve sur Fairyland Codex des variations vertigineuses. On passe de moments rocks à des moments de retenues qui pèsent tout de même lourd dans la balance. Les fans des excentricités du groupe, dont je fais partie, seront servis sur ce 4e album. »
— LP Labrèche
Lire la critique
29. Crabe — Expression radicale
Punk franco québécois
« Un manifeste d’indépendance et de singularité pour ceux qui s’affranchissent, une fois de plus, des codes plus communément suivit quant à la composition type d’un album. Chaque nouvelle parution du binôme québécois signe un rafraichissement de notre musique actuelle. Un opus sans égal, tout aussi sensible que baigné dans la puissance. »
— Arthur Charron
Lire la critique
28. YHWH Nailgun — 45 Pounds
Rock expérimental
YHWH Nailgun n’a pas manqué son coup pour ce premier album. Le groupe né pendant la pandémie avait déjà fait des vagues avec un EP en 2022, mais voici que son premier album démontre qu’il va encore plus loin dans son exploration des sons de post-rock et de post-punk. Le tout se mélange avec une bonne dose de rock bruyant.
— LP Labrèche
27. Marie Davidson — City of Clowns
Musique électronique québécoise
« La productrice, chanteuse et DJ aux chansons aussi accrocheuses qu’inquiétantes, vient de livrer son album City of Clowns. Marie Davidson amène sa science à la cité. Un album qui pourrait sembler futuriste; à parler de saisies de données personnelles, de crétins virtuels ou de santé mentale sur fond de techno saccadée, mais non, on est résolument aujourd’hui. »
— Sunny Duval
Lire la critique
26. Lily Allen — West End Girl
Pop

Il y a des séparations qui se passent bien et d’autres moins… et parfois, ça donne de la pop qui ne s’enfarge pas les pieds dans les fleurs du tapis. Lily Allen est en furie sur West End Girl et ça donne des résultats absolument délicieux.
— LP Labrèche
25. Wet Leg — Moisturizer
Pop-rock
« Ce deuxième album de Wet Leg est une savante et délicieuse collection de chansons pop-rock efficace qui s’écoute facilement. C’est assurément un album qui va marquer l’été 2025 avec ses hymnes bien composés et écrits. »
— LP Labrèche
Lire la critique
24. Catherine Leduc — Les jours où il neige à tous les postes
Pop-rock franco québécoise
« C’est avec un immense plaisir que l’on retrouve la musique de Catherine Leduc. L’artiste trifluvienne délivre, ici, sept œuvres lyriques uniques aux arrangements magnifiques, débordant d’une énergie bien singulière, qui nous font dire que ça valait la peine d’attendre huit ans. »
— Siméon Dumont
Lire la critique
23. Billy Woods — Golliwog
Rap

Depuis quelques années, Billy Woods s’installe comme un rappeur incontournable de la scène indépendante américaine. Avec Golliwog, il continue de raffiner son horrorcore pour traduire les horreurs du monde, mais aussi les choses effrayantes du quotidien, comme le racisme, le manque de respect et le silence devant les pires exactions.
— LP Labrèche
22. Les Vulgaires Machins — Contempler l’abîme
Punk rock franco québécois
« Il y a quelque chose de libérateur à cette époque de crise climatique qui s’enfonce où les gouvernements redoublent d’efforts pour éviter de poser des gestes concrets pour rectifier le tir, de grèves qui s’accumulent face au poids pesant des iniquités qui se creusent, d’entendre Guillaume Beauregard et Marie-Ève Roy chanter en unisson que quelque chose est en train de craquer. Sur Terminé le fun, le groupe met la table pour son album le plus combatif depuis Compter les corps. »
— LP Labrèche
Lire la critique
21. Enfants Sauvages — Avant la mort
Punk franco québécois
« Enfants Sauvages ne sont par reconnus pour faire dans la dentelle, mais ici, le groupe se lance dans une épopée atypique pour un band de punk hardcore. Après l’opéra rock, voici que la formation pousse la note un peu plus dans le tapis avec un opéra punk. Un projet avec une trame narrative signée Lucien Francœur qui introduit chacune des pièces avec une poésie déglinguée, vautrée dans le vice et la splendeur. Un opéra de 25 minutes qui ne s’enfarge pas dans les fleurs dudit tapis. »
— LP Labrèche
Lire la critique
Continuez à la page suivante







