Les albums à surveiller en novembre 2022
Christine & the Queens — Redcar les adorables étoiles (11 novembre)
Christine & the Queens est de retour avec Redcar les adorables étoiles qui devait paraître en septembre, mais qui a été repoussé en raison d’une blessure lors des répétitions pour le concert de lancement. Cela a permis à l’artiste de lancer d’autres extraits en amont de la sortie.
Bleu Jeans Bleu — Top minou (18 novembre)
Il y a quelque chose de complètement fou qui est arrivé avec Bleu Jeans Bleu avec la chanson de Coton ouaté en 2019. Leur rock humoristique légèrement kitsch a été propulsé au-devant de la scène musicale et les foules ont applaudi la formation au cours des étés suivants. C’est une belle histoire à la Cendrillon. Voici que Blue Jeans Bleu est attendu pour Top minou! On a bien hâte.
Richard Dawson — The Ruby Cord (18 novembre)
L’auteur-compositeur-interprète anglais Richard Dawson est un créateur assez unique qui conçoit un folk antique, mais avec une approche foncièrement contemporaine. Après l’excellent 2020 en 2019, il a fait un album en duo avec la formation métal finlandaise Circle, Henki, en 2021. Voici qu’il est de retour avec The Ruby Cord sur lequel on en sait très peu. On sait qu’il nous propose une fable qui se déroule dans 500 ans.
Weyes Blood — And in the Darkness, Hearts Aglow (18 novembre)
Avec Titanic Rising, Weyes Blood a enfin reçu la reconnaissance qui lui était due pour les pièces de grande qualité qu’elle a composées. Cette fois-ci, elle sera attendue avec And in the Darkness, Hearts Aglow, le second album d’une trilogie amorcée avec Titanic Rising. Encore une fois, elle a travaillé aux côtés de Jonathan Rado de Foxygen pour la création de nouvel opus.
Razalaz — Jungle givrée (25 novembre)
Le projet funk jazz d’Olivier Salazar, Razalaz est de retour avec un deuxième album, Jungle givrée. On retrouve à nouveau Noam Guerrier-Freud à la batterie et Julien Fillion au saxophone alors que Lex French se joint à la trompette et Émile Farley à la basse. Comme vous pouvez l’entendre avec le premier simple, Bronzage napolitain, c’est assez groovy comme proposition.