10. Ariane Roy — Dogue

Pop-rock franco québécoise

« Ceux qui attendaient Ariane Roy dans la continuité musicale vont faire le saut. Ce sont des sonorités beaucoup plus sombres et synthétiques qui se retrouvent sur Dogue, à l’image de la pochette. Dans le livret, Roy dédie l’album à toutes les chiennes. D’ailleurs, ce thème de la « pas fine » ou celle qui vit sans compromis sont très présents. »
— LP Labrèche
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9. FKA Twigs — EUSEXUA

Pop électronique r&b-esque

« Twigs avait évoqué la conception de cet album comme ayant eu lieu à Prague, dans des boîtes de nuit et autres endroits où elle pouvait marcher presque en tant qu’inconnue, lui procurant une nouvelle forme de liberté. Cette liberté et cette créativité, on la retrouve partout dans Eusexua. »
— Frédérique Lapointe
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8. Rosalía — LUX

Pop orchestrale

« Rosalía réussie haut la main à insérer du sacré dans sa pop. Non seulement elle en traite de manière inventive, mais poussée par une inspiration de quelque chose de plus grands qu’elle, l’Espagnol livre un album de pop grandiose comme il s’en fait peu. Délaissant la pop plus accessible de Motomami (on se rappelle qu’il y a une chanson complète sur le poulet), elle revient à une proposition plus audacieuse qui caractérisait El Mal Querer. Par contre, Rosalía a dorénavant les moyens de ses ambitions. »
— LP Labrèche
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7. Geese — Getting Killed

Rock

S’il y a un groupe qui a offert un album de rock audacieux cette année, c’est bien Geese qui avait déjà bien fait sur son premier, mais qui pousse beaucoup plus loin la recherche sur Getting Killed. On y trouve des progressions qui sont surprenantes, des textes qui explorent des thèmes connus, mais de manière complètement novatrice et une interprétation de Cameron Winter qui est incroyable.
— LP Labrèche

6. Lou-Adriane Cassidy — Triste animal

Pop-rock franco québécoise

« …à la fin du travail minutieux pour accoucher de Journal d’un loup-garou, elle avait besoin de liberté. Sur ce dernier album, un travail d’orfèvre a été fait sur les arrangements, tout a été réfléchi au millimètre près. Triste animal reconnecte avec une proposition plus spontanée à l’image de Lou-Adriane Cassidy en concert. »
— LP Labrèche
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5. Clipse — Let God Sort ‘Em Out

Rap

« Cet album, c’est un effort rigoureux, dense, et pourtant, le duo ne cherche pas à demeurer inaccessible à la masse. Chaque prod est millimétrée au plus haut point, chaque parole est placée au bon moment, chaque flow est incisif, actuel; bref, les astres semblent avoir été alignés pour créer une étincelle, une synergie comme il ne s’en fait plus.  »
— Frédérique Lapointe
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4. Deftones — private music

Métal

« Je n’ai absolument rien de négatif à dire sur le grand retour de Deftones. Même la pochette se classe parmi leurs plus réussies. Je n’ai pas écouté cet album, je l’ai mangé en pleine gueule. Après 30 ans de carrière, le groupe arrive encore à surpasser mes attentes. Deftones, c’est comme la coriandre. On aime ou on déteste avec passion. Pas d’entre-deux. »
— Charles Laplante
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3. Antoine Corriveau — Oiseau de nuit

Rock franco québécois

« Se transformant en Beck nouveau genre (il avait déjà le chapeau après tout), Antoine Corriveau a enregistré des musiciens pour ensuite construire des pièces à l’aide de bidouillages et de traitements qu’on pourrait attribuer davantage à un remixeur qu’un auteur-compositeur-interprète. Mais le tout a été fait avec un sens aigu de l’art et un fil créateur solide. Avec Stéphane Bergeron (Karkwa) à ses côtés, il a créé un Oiseau de nuit remarquable qui se démarque de la création musicale d’ici. »
— LP Labrèche
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2. Lou-Adriane Cassidy — Journal d’un loup-garou

Pop-rock franco québécoise

« Lou-Adriane Cassidy commence 2025 du bon pied avec Journal d’un Loup-Garou et c’est clair que nous allons continuer d’entendre parler d’elle pour le reste de cette année (et des suivantes bien sûr). Elle livre ici son meilleur album en carrière et une œuvre qui met la barre haute pour la suite de l’année. »
— LP Labrèche
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1. Population II — Maintenant jamais

Rock franco québécois

« En fait, il faut le dire, Maintenant jamais est le meilleur album de la formation à ce jour. Et ce n’est pas peu dire parce que les deux premiers sont excellents. Population II est un des groupes rock les plus excitants de la belle province depuis 5 ans et en rajoute à chaque album. Si le groupe a été signé chez Castle Face de John Dwyer jadis, on peut dire aujourd’hui que les élèves ont certainement rattrapé le maître. »
— LP Labrèche
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