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7 groupes à ne pas manquer avant 17h à Osheaga 2022

Le Festival Osheaga est à nos portes! Il se tiendra du 29 au 31 juillet de 14h à 23h tous les jours. Pour te faire patienter avant les têtes d’affiche, Le Canal Auditif te propose sept artistes ou groupes à ne pas manquer avant 17h.

La programmation d’Osheaga 2022 fourmille de bons artistes. On t’en a déniché sept qui, selon nous, valent la peine que tu te déplaces plus tôt au parc Jean-Drapeau. On te les présente!

Vendredi le 29 juillet

Lolo Zouaï à 15h20 sur la Scène Verte

L’autrice-compositrice-interprète Lolo Zouaï est née à Paris, mais a déménagé à San Francisco alors qu’elle n’était âgée que de trois mois. Son premier album, High Highs to Low Lows a vu le jour en 2019. Elle y offre des mélodies pop R’n’B assez efficaces en français et en anglais. Elle devait être de passage à Osheaga en 2020, mais pour les raisons que l’on connaît, ça a été partie remise. Depuis la pandémie, elle a pris part à la tournée Future Nostalgia Tour de Dua Lipa, qui sera elle aussi à Osheaga.

King Hannah à 16h40 sur la Scène des Arbres

Crédit : Kaite Silvester

Le duo de Liverpool King Hannah viendra faire son tour de notre côté de l’Atlantique pour prendre part à Osheaga. La particularité de ce projet réside sans conteste dans la voix d’Hannah Merrick. Mêlant à la fois nonchalance, confiance et rondeur, elle porte le projet vers un résultat lourd, tortueux et envoûtant. L’autre moitié du projet, Craig Whittle, sait créer de belles textures qui habillent bien leur offrande. C’est le genre de projet qui risque de créer une ambiance et un univers qui devraient amener l’auditoire avec eux.

Samedi 30 juillet

Sampa The Great à 14h40 à la Scène de la Vallée

Sampa The Great a lancé The Return, son premier album, en 2019. L’an d’après, la pandémie frappe. Elle décide de retourner en Zambie, là où elle est née. Elle renoue alors avec une partie d’elle-même. Puis, elle offre sa première chanson originale depuis son premier album, le morceau Lane (avec Denzel Curry), en avril dernier. Dans ses premiers pas musicaux, notamment avec la pièce OMG, on lui trouvait des similitudes avec le groupe Young Fathers. Disons qu’elle sait créer des chansons accrocheuses et groovy qui mettent bien de l’avant son talent pour les mots. Elle risque d’en faire danser plus un samedi à Osheaga.

Pierre Kwenders à 15h25 à la Scène des arbres

Crédit : Daniele Fummo

Celui qui se retrouve présentement sur la courte liste du Prix Polaris sera devant la foule d’Osheaga le samedi 30 juillet. Pierre Kwenders a lancé José Louis and the Paradoxe of Love en avril dernier. Comme à son habitude, il y chante autant en français qu’en anglais qu’en lingala, tshiluba et kikongo. Ce troisième album présente des rythmes chauds et dansants qui ont une tendance à faire danser même les plus récalcitrants dans une foule. Ce sera à voir à Osheaga le samedi 30 juillet.

Tove Lo à 16h05 sur la scène de la RIVIÈRE

Crédit : Page Facebook de l’artiste

L’autrice-compositrice-interprète suédoise Ebba Tove Elsa Nilsson, mieux connue sous le nom de Tove Lo, sera à Osheaga le samedi 30 juillet. Ses mélodies pop sont influencées par le grunge. Ses paroles, quant à elles, sont souvent autobiographiques et honnêtes. Ces éléments lui ont valu le surnom de « la fille la plus triste de Suède » (Out). En 2014, elle fait paraître le mini album Truth Serum. La chanson Habits (Stay High), elle, se classe à la troisième place du Billboard hot 100 aux États-Unis et la fait connaître. Plus récemment, elle a collaboré avec la série Euphoria avec la chanson How Long. Sa pop triste, mais dansante risque d’en envoûter plus d’un.

Dimanche 31 juillet

La Doña à 15h25 à la Scène des Arbres

Crédit : Thalia Gochez

L’autrice-compositrice-interprète et multi-instrumentiste Cecilia Cassandra Peña-Govea produit de la musique sous le nom de La Doña. Ses morceaux mélangent les rythmes latins au hip-hop de San Francisco, influencés par la communauté dans laquelle elle a grandi. La pierre angulaire du travail de La Doña, c’est de créer du reggaeton féministe. Ce genre, comme plusieurs autres, est souvent écrit du point de vue masculin. L’autrice-compositrice-interprète se l’approprie donc. Musicalement, elle explore sa féminité, inspirée par l’amour, la sexualité, la douleur et les catastrophes climatiques.

Mahalia à 16h00 sur la scène de la VALLÉE

Crédit : Page Facebook de l’artiste

Mahalia est une autrice-compositrice-interprète née à Leicestershire en Angleterre. Avec des parents musiciens – sa mère a pris part au groupe Colourbox dans les années 1980 et son père a fait de la tournée avec Erasure – la musicienne crée des chansons avant l’adolescence. À 13 ans, elle lance son premier EP. Elle se fait découvrir en 2017 grâce à sa performance de Sober sur la chaîne YouTube Colors. Depuis, elle a lancé plusieurs mini albums et deux albums. Ses mélodies sont fortement teintées de RnB et de soul, comme ses influences sont entre autres Erykah Badu et Lauryn Hill.

Pour plus d’informations sur la programmation, c’est par ici.