FEQ 2022 | Jour 2 : Geoffroy, Tash Sultana et Jack Johnson
On continue en force pour la 2e soirée du FEQ avec Geoffroy, Tash Sultana et Jack Johnson!
Tout a commencé avec Geoffroy heureux de revenir au FEQ, et cette fois pour la grande scène. Il nous fait part du plaisir immense d’ouvrir pour Jack Johnson, qui a marqué son parcours musical. Sur les airs de Sleeping On My Own, Coastline, How You Feeling Now? et Raised by Wolves, le public se réchauffe tranquillement pour la suite du line up de la soirée… Malheureusement, Geoffroy finit abruptement sa prestation par manque de temps. Bien déçue de la chose, j’avais le pressentiment qu’il allait terminer avec ma chanson, Call of the Wild !
Ensuite, Tash Sultana monte assez rapidement sur scène avec un sourire contagieux! Digne d’un.e gamin.e, iel s’amuse a jouer avec ses instruments en faisant danser le public. Une semaine auparavant au Festival de Jazz, je n’avais pas pu voir le concert au complet. J’attendais la soirée avec impatience! Je fus comblée par le talent et la passion qui s’émanait de sa performance. Note aux éclairages et aux projections qui nous plongeaient avec brio dans l’univers psychédélique de Tash Sultana. Iel conclut avec une version unique de Jungle, on aime ça!
Finalement, le doux Jack Johnson arrive devant la foule envahissant les Plaines. Armé de sa guitare acoustique, on sait que nos attentes seront comblées : on vivra un doux moment. Très généreux, il réussit à bercer le public pendant un bon deux heures. Il chante entre autres I Got You, Breakdown, Do You Remember, Angel et Banana Pancake. On sent la finale venir lorsqu’il chante les paroles en français de Belle et qu’il enchaine sur les notes de Better Together. Les gens venus voir Jack Johnson sortent heureux de la soirée. Seul hic ? Plusieurs dans la foule étaient là, juste pour être là, et non pour venir écouter l’artiste.
Enfin, je tiens à souligner la bonne gestion du FEQ pour les urgences médicales sur le site. Ce fut une soirée très mouvementée et l’équipe de secourisme était réactive.
Crédit photo: Alexanne Brisson