Guide des fêtes Culture Cible 2019 : 10 spectacles à ne pas manquer en 2020
Rien de mieux pour bien préparer sa nouvelle année que de se prendre quelques rendez-vous où le plaisir musical est assuré. Voici 10 suggestions pour la nouvelle année (ou pour bien finir l’année)!
1 – Navet Confit
Navet Confit a connu tout un automne! En fait, il a connu toute une année 2019 en lançant deux albums et un EP. Rajoutez à cela les nombreuses compositions pour des pièces de théâtre. Bref, notre grand Navet préféré n’est pas près d’arrêter et on vous dit juste ceci : ne le manquez pas l’an prochain! Ça va être du bonbon.
2 – Matisyahu au Théâtre Corona le 21 décembre 2019
On enfreint un peu notre propre idée pour vous signaler un rare passage du mystique Matisyahu au Théâtre Corona le 21 décembre prochain. Une bonne façon de fêter Hanukkah avec un show d’enfer! Si vous ne connaissez pas encore cet auteur-compositeur-interprète haut en couleur, c’est le temps de s’y plonger.
Pour vous procurer des billets
3 – Hot Water Music au Théâtre Corona le 29 janvier
Hot Water Music est en tournée pour fêter ses 25 ans et vous êtes conviés au Théâtre Corona le 29 janvier prochain pour faire la fête. Ça risque de faire fondre la neige et donner une bonne dose d’énergie pour commencer l’année. Eh puis, un bon mush pit à la fin janvier, ça fait perdre ce qui reste de gras de tourtière!
Pour vous procurer des billets
4 – Le Vent du Nord + Breabach le 18 avril au Théâtre Maisonneuve
Les échanges entre cultures, nous on aime ça! Et voici qu’un band folk écossais, Breabach, débarque dans le cadre du Printemps écossais de la Place des Arts. Pour les accueillir, c’est Le Vent du Nord, une sommité en musique traditionnelle d’ici, qui sera en poste. La rencontre risque de produire des flammèches et de donner envie de taper du pied!
Pour vous produrer des billets
5 – Talisk + RURA le 22 avril au Théâtre Maisonneuve
Deux groupes de folk écossais seront de passage en ville dans le cadre du Printemps écossais de la Place des Arts. Imaginez-vous donc que Talisk aime tellement Montréal, qu’ils en ont fait une ritournelle. Pas pire quand même! En tout cas, nous si on se fait écrire une chanson… nous serions émus. Pour sa part, RURA met de l’avant de magnifiques pièces où le violon possède une place de choix. Ça risque d’être toute une soirée!