On se concentre sur les artistes locaux et sur une Française pour cette édition des albums à écouter. De plus, il y a Pomme qui a lancé une petite pépite et Adrianne Lenker qui ne déçoit pas une fois de plus.

Alexandra Lost — SMOKE

Pop-rock bilingue

Ce nouvel album d’Alexandra Lost a été un peu la chose brillante dans une période assez difficile pour le couple : d’un côté le père de Simon Paradis est décédé et de l’autre des traitements de fertilité ont échoué. Les deux membres se sont rattachés à la création de cet album comme à une bouée de sauvetage qui a éclairé le chemin pendant cette période sombre.

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Elliot Maginot — I Need to Stay Here

Pop-folk anglo québécoise

Ça fait près de trois ans qu’Elliot Maginot a lancé Easy Morning. Le Montréalais a décidé d’approcher ce quatrième album différemment des autres. Au lieu de prendre beaucoup de temps à peaufiner ses pièces comme il a l’habitude de faire, il a décidé d’enregistrer live en studio avec ses musiciens pour capturer l’énergie qui venait avec ses concerts. Le résultat est une proposition plus directe et dynamique.

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Halo Maud — Celebrate

Rock bilingue français

Halo Maud présente un nouvel album de dream pop rock aérienne qui flirte toujours un peu avec le psychédélisme sans jamais s’y abandonner complètement. De l’album, la Française a dit qu’elle avait été influencée par l’album Nous autres par René Lussier et Fred Firth. Cela a mené à chanter un peu son approche dans la manière d’enregistrer sa voix. On y retrouve aussi son talent pour la mélodie qui lui ne s’étiole pas avec le temps.

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Rouge Pompier — Michael Caine

Rock franco québécois

Rouge Pompier livre un premier album qu’ils ont enregistré à Santorini en Grèce. Après l’ère Neve Campbell, c’est au tour de Michael Caine. Les premiers extraits donnent l’impression que ce ne sera peut-être pas l’album le plus lourd de la formation, mais certainement un des plus mélodieux alors que les airs sont toujours efficaces.

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Simon Leoza — Acte III

musique orchestrale

Contrairement aux derniers albums de Simon Leoza qui étaient entièrement instrumentaux, il a fait de la place cette fois-ci à certaines voix, dont celles de l i l a et Pilou. Par contre, il ne fait pas de sacrifices au niveau de la qualité des propositions musicales. On y retrouve aussi un peu plus de l’élément électronique qui a toujours été présent chez Leoza. Bref, encore une fois, il y a aura beaucoup de beauté.

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