Cette semaines dans notre sélection, ça rock autant que ça groove. Vous pouvez aussi vous pencher sur les albums de Vincent Vallières et Vulgaires Machins.

Carences — Violences

Noise rock francophone québécois

Carences est un groupe formé de membre de la scène musicale qui ont été dans Adam Strangler, Gazoline et RENONCE. Le trio se lance dans un noise rock avec des côtés post-hardcore. Ça rentre au poste avec des trames assez sombres et puissantes. La formation privilégie des pièces plus courtes et coups de poing que les longues litanies sur ce premier album.

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FKA Twigs — Eusexua Afterglow

Pop R&B

FKA Twigs a commencé l’année avec EUSEXUA et elle la termine de la même manière avec l’Afterglow de celui-ci. Ce qui a commencé comme un projet pour faire une version de luxe de l’album a finalement pris une vie propre et est devenu un album en soi. On retrouve la même tangente électronique qui a marqué son premier album cette année.

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Magella — The Pearl

R&B noise anglo québécois

MAGELLA revient avec The Pearl, qui pousse plus loin le son qu’elle a commencé à creuser sur l’EP Checkmate. Sur ce premier album, la fusion entre le côté noise rock et le R&B est encore plus prononcée. L’univers de MAGELLA est à la fois langoureux, mais garde un côté dangereux dans sa proposition. Elle a travaillé sur The Pearl avec Simon Walls et Félix Tellier Pouliot.

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Odonis Odonis — Odonis Odonis

Rock

Il n’est jamais trop tard pour sortir un album homonyme. En tout cas, Odonis Odonis a attendu 6 albums et pourtant, ça semble bien correct. La formation d’indie-rock est de retour avec une proposition un peu bruyante, assez mélodieuse et shoegazé. Après avoir été beaucoup du côté industriel, la formation revient à quelque chose d’un peu plus rock alternatif, même si c’est un terme qui ne lui va pas bien. C’est tellement plus que ça.

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Pasteur Papillon — Urubu, gospel d’un charognard

Rock franco québécois

Pasteur Papillon est de retour avec son pop-rock un peu crasse. L’auteur-compositeur-interprète mélange le blues, l’americana et la pop-rock bien québécoise sur Urubu, gospel d’un charognard. Il y parle de ses observations de la société autour autant que des textes plus personnels, hommage à ceux qui l’entourent.

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