C’est le 8 novembre que le sextette Les Breastfeeders partageront leur nouveau long jeu rock garage psychédélique aux tendances post-punk et psych-folk. Question de nous mettre en haleine, la bande nous partage un 2e extrait de l’ensemble qui en aura 12 : Vivre et exister.

Il faut remonter à 2011 pour trouver Dans la gueule des jours, dernière sortie du groupe Les Breastfeeders. Au sujet de ce nouveau projet, « les sillons nous emmènent dans différents univers rythmiques et stylistiques, maintenant un fil narratif où chaque chanson peut devenir un quartier, une rue, une allée, une porte, une pièce, une personne. Les paroliers Luc Brien et Johnny Maldoror nous racontent ce qu’on y voit, ce qu’on y entend, ce qu’on y vit : le monde à vau-l’eau par la faute des Corsaires Satan ; l’amour qui s’obstine, qui s’accroche aux rebords ; nos vies qu’on transfigure par le prodige des mots qui les nomment et qui élèvent l’expérience personnelle en aventure d’humanité ».

La ville engloutie
01. Les pieds chez toi
02. On ne prête qu’aux riches
03. Vivre et exister
04. Corsaire Satan
05. Ma mort d’avant ma mort
06. La ville engloutie
07. Mallorytown
08. Los sueños que ya no se sueñan más
09. La vérité c’est que tu mens
10. J’entends les tambours
11. Les rêves qu’on ne rêve plus
12. Aujourd’hui ou demain

Au sujet de Vivre et exister, c’est le deuxième extrait partagé, faisant suite à Les pieds chez toi paru en mai. La première chose à évoquer, c’est l’entrée en scène officielle de Karine Roxane Isabel qui viendra redynamiser la section des choeurs et enrichir les compositions en prenant, comme l’exemple ici, place à la voix. La chanson énergique ne pourrait mieux cadrer dans le style stoner surf garage rock. Ça fait planer.