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5 bonnes raisons d’aller voir Odesza à Montréal

Est-ce que vous connaissez Odesza? Si oui, bravo, vous êtes curieux et avez fait vos devoirs. Ou vous êtes peut-être tombés sous le charme à la sortie de Summer’s Gone en 2012. Si vous ne savez qui est Odesza, alors cet article est spécialement pour vous. Voici 5 bonnes raisons de vous prendre vos billets pour le 17 euh… nous voulons dire le 18 novembre.

1 – Ça te prend combien de temps, remplir un Metropolis, toi?

5 jours… après l’annonce de la venue du groupe américain dans le cadre de M pour Montréal. Odesza s’est transformé en véritables PJ Harvey et a rempli le Metropolis. Si vous croyez que c’est dû à la chance, détrompez-vous. Harrison Mills et Clayton Knight ont travaillé le terrain graduellement pour en arriver là. Evenko n’a pas eu le choix, on remet ça le 18! De quoi se réchauffer dans la grisaille du mois de novembre.

2-Et c’est une habitude…

Dans leur tournée pour la sortie d’In Return le groupe a affiché complet à 28 reprises! Leur succès en est un qui se passe de la bouche d’un mélomane à l’oreille d’un autre. À travers ce téléphone arabe d’initiés, le groupe a réussi à se faire connaître sans jamais attirer l’attention des médias traditionnels. Et c’est régulièrement un gage de longévité. Vous voulez certains exemples québécois? Les Cowboys Fringants, Les 3 accords et Loco Locass, sont trois formations qui se sont fait connaître par des moyens alternatifs comme les radios étudiantes et les médias nichés. Leurs carrières respectives s’en portent très bien.

Posted by ODESZA on Tuesday, December 9, 2014

 

3 – Summer’s Gone & How Did I Get Here

Déjà en 2012, Summer’s Gone avait fait des vagues. Bien des mélomanes s’étaient fait happer les oreilles par les chansons chillwave mélodieuses de la formation. Et How Did I Get Here représente merveilleusement les sentiments d’étés éternels que peut susciter la musique d’Odesza. Pèse sur « play », enfile tes lunettes soleil pis coule-toi une petite consommation rafraîchissant… c’est l’été!

 

4- In Return

Si le premier album d’Odesza avait visé juste, In Return a confirmé l’intérêt que nous avions pour Odesza. Plutôt que de se réconforter dans les trames vaporeuses de Summer’s Gone, le duo a démontré qu’il pouvait aussi faire danser les foules. C’est aussi ce qui attend les gens au Metropolis en novembre. Oui, ça va te coûter un petit deux de vestiaire, mais la récompense sera une soirée complète à te déhancher sur le parterre. C’est aussi dans ces années qu’Odesza a créé le collectif Foreign Family. Conscient que leur succès n’était pas une fin en soi, le duo a conçu cette plateforme pour permettre à des compositeurs émergents de publier une chanson ou pour les artistes visuels qui cherchent à faire connaître leurs œuvres. C’est une très belle initiative!

http://foreignfamilycollective.com/

 

5 – Les nouveaux tubes

La dernière, mais non la moindre! A Moment Apart, leur nouvel album, paraîtra le 8 septembre prochain et les simples parus à date sont très prometteurs. Peut-être est-ce le moment où Odesza sortira de l’ombre dans l’œil du grand public. Dans tous les cas, le duo possède le nécessaire pour conquérir les mélomanes avec de nouvelles trames léchées et mélodieuses sans tomber dans le convenu ou l’anodin. Que ce soit Line Of Sight avec WYNNE et Mansionair, la quasi-mystique Corners of the Earth avec Ry X ou encore la groovy Meridian, ça regarde bien!